La société est ainis faite qu'elle est parcourue de courants contradictoires que le caractère archaïque et dichotomique des débats parlementaires, ou autres, aident mal à saisir.
On devine une évolution forte de la famille, quand 56 % des enfants naissent « hors mariage », quand la PMA est là et que la GPA ne peut être niée.
Le Président du Comité national d'Éthique appelle à des états généraux car tant et tant de questions se posent à la société et pas seulement aux associations et aux politiciens.
A qui ouvrir la PMA ?
Faut-il la permettre aux couples homosexuels?
Faut-il alors qu'elle soit remboursée par la sécurité sociale?
Mais se profile aussi, en même tant que ce droit à l'enfant revendiqué un développement du droit de l'enfant.
Et du droit naissant de celui-ci à connaître ses origines, qui se développe.
Cela pose alors la question de l'adoption. plénière qui fait disparaître la filiation biologique.
Est-ce qu'il n'y aurait pas une réflexion à conduire sur ce type d'adoption?
Et pas seulement pour les éventuelles adoptions par les couples homosexuels?
Non, pour tous les adoptants
Ne faut-il pas repenser l'adoption plénière en laissant subsister la filiation biologique pour préserver le droit de l'enfant à être lui-même, finalement ?
Repenser l'adoption.
Mais il est bien difficile d'aborder ces thèmes entre débats éléctoraux et manifestations.
Oui, il faut des états généraux, mais pour tous!